Albert Poncelet shihan
Un clan de passionnés
J'ai rencontré Albert Poncelet et son épouse Laurence il y a quelques années. Pratiquants expérimentés de Ju-Jutsu, ils étaient venus incognitos, en ceinture blanche et sans hakamas. Discrets, ouverts, ils ont commencé à participer aux Master Class, et Albert m'a par la suite accompagné au Japon lors d'un Masters Tour.
Le temps passant j'ai fait la connaissance d'une grande partie de la famille, sœur, filles, beau-frère, beau-fils, tout un clan passionné par la pratique martiale.
Albert Poncelet, un modèle
Albert à plusieurs décennies de pratique. Bien plus que n'en cumulent la majorité des pratiquants en une vie. Investi depuis son plus jeune âge, il a malheureusement vécu avec ses compagnons des déceptions lors de son cheminement. Mais alors qu'il aurait pu arrêter ou s'aigrir, il a décidé d'aller de l'avant, de s'ouvrir. Il est venu découvrir des pratiques qui lui étaient étrangères, et dans lesquelles il a fait d'énormes progrès en peu de temps.
Albert et Laurence recevant l'enseignement de Kono senseï
Le titre de shihan est aujourd'hui à la mode. Mais ceux qui le convoitent prouvent qu'ils ne le méritent pas. Albert est l'une des rares personnes que je connaisse qui personnifie ce titre. Sa droiture, sa sincérité, son humilité profonde, font de lui un shihan, un modèle. C'est un honneur pour moi de compter parmi ses amis.
Albert recevant l'enseignement de Hino senseï