Philippe Cocconi
Je parle régulièrement sur Budo no Nayami de maîtres et de pratiquants que j'apprécie. La publication de photos de la NAMT par Sébastien me donne l'occasion de parler aujourd'hui de Philippe Cocconi.
Philippe est l'un des budokas que j'apprécie le plus, tant au niveau de sa pratique que de sa personnalité. Il pratique l'Aïkido, le Iaïdo, le Jodo mais aussi la boxe thaïe, le Jujitsu brésilien et... la calligraphie. Les maîtres et experts dont il m'a le plus parlé et dont je retrouve la marque dans sa pratique sont Tamura Nobuyoshi, Nishio Shoji, Kuroda Tetsuzan et Malcolm Tiki Shewan.
Une chose très intéressante avec Philippe est que, contrairement à Brahim avec qui nous partageons souvent la même vision de la pratique, ses opinions sont souvent très différentes des miennes. Cela nous a plusieurs fois donné l'occasion d'échanger longuement dans des discussions passionnantes.
Un second point que j'apprécie est le fait que Philippe se remet en question, notamment en combattant régulièrement dans diverses disciplines telles que la boxe thaïe ou le Jujitsu brésilien. Cette expérience du combat qui fait, à mon sens, défaut à beaucoup trop d'experts en Aïkido, a marqué sa pratique. Son Aïkido est vif, incisif, parfois rugueux mais toujours vivant.
Cela peut sembler puéril mais j'ai le sentiment que le combat est l'un des moyens les plus directs de connaitre le cœur d'un homme. Lorsque j'ai combattu avec Philippe j'ai aimé ce que j'ai découvert de lui.
Philippe travaille énormément dans le domaine de la sécurité, notamment en tant que formateur. Fidèle à lui-même il préfère démontrer que faire de longs discours. Il est l'un des très rares capables de faire le lien entre l'Aïkido et le combat dans les actes.
Aussi entier dans la vie que dans la pratique Philippe n'est pas très apprécié dans les structures fédérales excepté en Ile-de-France. C'est regrettable et j'espère que cela changera car c'est un véritable chercheur.
Philippe est l'un des budokas que j'apprécie le plus, tant au niveau de sa pratique que de sa personnalité. Il pratique l'Aïkido, le Iaïdo, le Jodo mais aussi la boxe thaïe, le Jujitsu brésilien et... la calligraphie. Les maîtres et experts dont il m'a le plus parlé et dont je retrouve la marque dans sa pratique sont Tamura Nobuyoshi, Nishio Shoji, Kuroda Tetsuzan et Malcolm Tiki Shewan.
Une chose très intéressante avec Philippe est que, contrairement à Brahim avec qui nous partageons souvent la même vision de la pratique, ses opinions sont souvent très différentes des miennes. Cela nous a plusieurs fois donné l'occasion d'échanger longuement dans des discussions passionnantes.
Un second point que j'apprécie est le fait que Philippe se remet en question, notamment en combattant régulièrement dans diverses disciplines telles que la boxe thaïe ou le Jujitsu brésilien. Cette expérience du combat qui fait, à mon sens, défaut à beaucoup trop d'experts en Aïkido, a marqué sa pratique. Son Aïkido est vif, incisif, parfois rugueux mais toujours vivant.
Cela peut sembler puéril mais j'ai le sentiment que le combat est l'un des moyens les plus directs de connaitre le cœur d'un homme. Lorsque j'ai combattu avec Philippe j'ai aimé ce que j'ai découvert de lui.
Philippe travaille énormément dans le domaine de la sécurité, notamment en tant que formateur. Fidèle à lui-même il préfère démontrer que faire de longs discours. Il est l'un des très rares capables de faire le lien entre l'Aïkido et le combat dans les actes.
Aussi entier dans la vie que dans la pratique Philippe n'est pas très apprécié dans les structures fédérales excepté en Ile-de-France. C'est regrettable et j'espère que cela changera car c'est un véritable chercheur.
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