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Hideyoshi, seigneur singe; Le protecteur; Amerigo
Des trois derniers livres que j'ai lus, un seul fut réellement intéressant. Le seul que j'ai pris le temps d'aller choisir et acheter dans une librairie.
Hideyoshi, seigneur singe
"Hideyoshi, seigneur singe" de Shiba Ryotaro est la biographie historique romancée de l'un des trois grands unificateurs du Japon, Hideyoshi Toyotomi. Shiba est le plus célèbre romancier historique japonais. Ses œuvres sont toujours agréables à lire, mêlant adroitement précision historique et romanesque.
Hideyoshi ne fait pas exception et j'ai appris à apprécié ce personnage historique qui ne m'attirait pas particulièrement. Son destin extraordinaire est suivi pas à pas et Shiba, grâce à une fine analyse psychologique, arrive à nous donner l'illusion de deviner les pensées de ce paysan qui deviendra maître du Japon.
L'œuvre ne brille pas particulièrement par l'esthétique de l'écriture, bien qu'elle soit très agréable, mais par ce qu'elle raconte. Le livre se lit très facilement et je n'ai pas regretté d'avoir pris le temps d'aller le chercher en librairie. Le seul reproche que j'aurai à lui faire est son format car à ma connaissance il n'existe pas encore en format poche.
Le protecteur
"Le protecteur" est un thriller de David Morrell, célèbre pour être l'auteur de Rambo, que je n'ai pas lu, et d'autres ouvrages qui ont été adaptés au cinéma ou à la télévision tels que "La fraternité de la Rose" ou "Les conjurés de la pierre". J'avais lu certains de ces livres adolescents et j'en gardais un souvenir correct. Je n'ai donc pas hésité longtemps lorsque je cherchais un livre pour me détendre à l'aéroport.
La couverture aurait dû me donner un indice… Le livre est pathétique de bout en bout et son scénario n'est même pas digne d'un téléfilm de M6. Rien à ajouter.
Amerigo
J'ai acheté "Amerigo" de Stefan Zweig en même temps que "Le protecteur", me disant que si ce dernier s'avérait mauvais je pourrai me retourner sur lui sans crainte de me tromper. "Amerigo" raconte comment l'Amérique a hérité de son nom au lieu de celui de Christophe Colomb. L'ouvrage est bien documenté et se lit facilement mais il pourrait tenir en 10 pages au lieu de 122… Comparé au dernier livre de Zweig que j'ai lu récemment, "La confusion des sentiments", celui-ci n'a qu'un intérêt anecdotique.
Au final je crois que je prendrai dorénavant le temps d'acheter mes livres en librairie…
Hideyoshi, seigneur singe"Hideyoshi, seigneur singe" de Shiba Ryotaro est la biographie historique romancée de l'un des trois grands unificateurs du Japon, Hideyoshi Toyotomi. Shiba est le plus célèbre romancier historique japonais. Ses œuvres sont toujours agréables à lire, mêlant adroitement précision historique et romanesque.
Hideyoshi ne fait pas exception et j'ai appris à apprécié ce personnage historique qui ne m'attirait pas particulièrement. Son destin extraordinaire est suivi pas à pas et Shiba, grâce à une fine analyse psychologique, arrive à nous donner l'illusion de deviner les pensées de ce paysan qui deviendra maître du Japon.
L'œuvre ne brille pas particulièrement par l'esthétique de l'écriture, bien qu'elle soit très agréable, mais par ce qu'elle raconte. Le livre se lit très facilement et je n'ai pas regretté d'avoir pris le temps d'aller le chercher en librairie. Le seul reproche que j'aurai à lui faire est son format car à ma connaissance il n'existe pas encore en format poche.
Le protecteur"Le protecteur" est un thriller de David Morrell, célèbre pour être l'auteur de Rambo, que je n'ai pas lu, et d'autres ouvrages qui ont été adaptés au cinéma ou à la télévision tels que "La fraternité de la Rose" ou "Les conjurés de la pierre". J'avais lu certains de ces livres adolescents et j'en gardais un souvenir correct. Je n'ai donc pas hésité longtemps lorsque je cherchais un livre pour me détendre à l'aéroport.
La couverture aurait dû me donner un indice… Le livre est pathétique de bout en bout et son scénario n'est même pas digne d'un téléfilm de M6. Rien à ajouter.
AmerigoJ'ai acheté "Amerigo" de Stefan Zweig en même temps que "Le protecteur", me disant que si ce dernier s'avérait mauvais je pourrai me retourner sur lui sans crainte de me tromper. "Amerigo" raconte comment l'Amérique a hérité de son nom au lieu de celui de Christophe Colomb. L'ouvrage est bien documenté et se lit facilement mais il pourrait tenir en 10 pages au lieu de 122… Comparé au dernier livre de Zweig que j'ai lu récemment, "La confusion des sentiments", celui-ci n'a qu'un intérêt anecdotique.
Au final je crois que je prendrai dorénavant le temps d'acheter mes livres en librairie…
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