Pourquoi j'ai commencé l'Aïkido ou comment une réflexion stupide peut avoir des conséquences positives
J'ai commencé à pratiquer l'Aïkido relativement tard. Assez tôt dans la mesure où j'avais vingt-et-un ans, assez tard dans la mesure où je pratiquais les arts martiaux depuis déjà quinze ans. A l'époque je pratiquais le Full-contact et le Karaté dont je pensais devenir enseignant. Je me souviens très bien de la réfléxion qui m'a amenée à l'Aïkido…
A ce moment-là toute ma pratique se basait sur le développement des capacités physiques. Etre plus rapide, plus fort, plus endurant. Pour moi l'efficacité dans les arts martiaux reposait sur une puissance destructrice et je pensais que le Karaté était réservé aux personnes capables d'un engagement physique important. Je savais que cela limiterait le nombre d'élèves et je me disais qu'il serait intéressant d'enseigner à côté une discipline pour ceux qui n'en seraient pas capables. J'hésitais entre le Taï Chi Chuan, le Yoga et l'Aïkido.
Le Taï Chi m'apparraissait comme une gymnastique de santé sans liens avec la pratique martiale. Le Yoga me semblait encore plus éloigné de par sa nature et l'Aïkido m'avait toujours fait l'effet d'une danse sans efficacité réelle. L'expérience m'apprendrai plus tard que je me trompais sur tous ces points…
Finalement séduit par la tenue et considérant qu'apprendre quelques clés pourrait enrichir ma pratique je me décidai à aller étudier l'Aïkido. Une semaine après mes débuts l'enseignant me proposa d'aller voir un maître japonais en stage et j'acceptai par curiosité. C'était Jacques Bardet qui m'emmenait voir Tamura senseï.
Le reste est de l'histoire avec un tout petit h…
Mae geri Photo Frédérick Carnet
A ce moment-là toute ma pratique se basait sur le développement des capacités physiques. Etre plus rapide, plus fort, plus endurant. Pour moi l'efficacité dans les arts martiaux reposait sur une puissance destructrice et je pensais que le Karaté était réservé aux personnes capables d'un engagement physique important. Je savais que cela limiterait le nombre d'élèves et je me disais qu'il serait intéressant d'enseigner à côté une discipline pour ceux qui n'en seraient pas capables. J'hésitais entre le Taï Chi Chuan, le Yoga et l'Aïkido.
Photo Frédérick Carnet
Le Taï Chi m'apparraissait comme une gymnastique de santé sans liens avec la pratique martiale. Le Yoga me semblait encore plus éloigné de par sa nature et l'Aïkido m'avait toujours fait l'effet d'une danse sans efficacité réelle. L'expérience m'apprendrai plus tard que je me trompais sur tous ces points…
Finalement séduit par la tenue et considérant qu'apprendre quelques clés pourrait enrichir ma pratique je me décidai à aller étudier l'Aïkido. Une semaine après mes débuts l'enseignant me proposa d'aller voir un maître japonais en stage et j'acceptai par curiosité. C'était Jacques Bardet qui m'emmenait voir Tamura senseï.
Le reste est de l'histoire avec un tout petit h…
Irimi nage Photo Frédérick Carnet
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