Stéphane Crommelynck, Aïkido à Bruxelles
J'ai connu Stéphane Crommelynck il y a sept ans. Pratiquant adepte d'un Aïkido "solide", sa curiosité avait été éveillée par les écrits de mon blog, et il m'a invité à venir enseigner au Sakura dojo.
Dès notre première rencontre Stéphane s'est montré jovial et accueillant, mais surtout ouvert. Des qualités dont il ne s'est jamais départi au fil des années.
La recherche de douceur d'un homme puissant
Certains courants d'Aïkido apprennent à leurs adeptes à devenir plus forts. Leurs maîtres ont un physique puissant avec des jambes et des hanches fortes, et leur enseignement met un accent particulier sur la stabilité, le centrage, et la connexion des différentes parties du corps. C'est une pratique efficace, dont la seule limite tient au physique de ses pratiquants. Une personne au physique malingre aura en effet du mal à s'exprimer et se développer dans ce type d'école. Stéphane a le profil type des adeptes de ces styles d'Aïkido. Sans doute porté par sa douceur et sa bienveillance naturels, c'est pourtant dans le travail proposé dans le Kishinkaï qu'il semble s'épanouir aujourd'hui.
Sakura dojo
Beaucoup connaissent Stéphane grâce à son blog "Sakura Dojo". Mais Sakura Dojo est avant tout le nom de la structure qu'il a créée pour enseigner. Aujourd'hui le Sakura Dojo c'est :
3 cours par semaine (lundi, mercredi et jeudi soirs pour les adultes)
dans 2 dojos (à Bruxelles et Chaumont-Gistoux)
avec 1 enseignant (Stéphane Crommelynck).
"Energie, Bien-être et Bienveillance", est-il écrit sur le fronton de la page de Stéphane. On ne s'aurait mieux résumer ce qu'il propose.
Commencer et recommencer
"Commencer et recommencer" est le titre d'un article de Stéphane que je vous invite à lire. Il y évoque la décision qu'il a prise de quitter le Suki Dojo qu'il avait développé avec l'aide d'Arnaud Beelen. Quitter un dojo est une décision difficile à laquelle se trouvent confrontés beaucoup d'enseignants et pratiquants au cours de leur évolution. Le poids des amitiés tissées et des habitudes rend ces départs souvent douloureux. Toutefois je sais pour en avoir été souvent témoin, qu'après une période compliquée tous les pratiquants qui se sont résolus à franchir le pas ne l'ont pas regretté. Parce qu'on ne regrette pas d'être clair et en accord avec soi-même.
Aïkido à Bruxelles
La capitale belge ne manque pas de dojos qualifiés. Je vous invite toutefois à saisir l'opportunité de découvrir la pratique de Stéphane dans son nouveau cours :
Mercredi de 20h00 à 21h30
Centre Pérou
Avenue du Pérou, 23
1000 Bruxelles
Parking aisé et facile d'accès en transport en commun