Temps de vol entre Tokyo et Paris...
Entre les stages que j'organise, ceux que je donne et ceux auquels je vais en tant que simple pratiquant, je fais maintenant l'aller-retour Tokyo-Paris en gros une fois par mois. C'est non seulement un gouffre financier car le prix des billets augmente d'année en année, mais surtout une perte de temps considérable.
Si je compte le trajet de mon domicile à l'aéroport, l'attente avant l'enregistrement puis l'embarquement, le vol lui-même, le temps de récupérer mes bagages, le passage à la douane et le trajet jusque chez moi à Paris, j'arrive à près de 24h par trajet! Multiplié par deux pour un aller retour et par douze mois, j'arrive à un total de près d'un mois de l'année passé à voyager entre Tokyo et Paris dont douze jours de vol pur.
Bien sûr je fais en sorte d'utiliser ces trajets au mieux. Je travaille sur mon ordinateur portable, je dors dans l'avion afin d'être "opérationnel" dès mon arrivée, etc… Et si on considère la distance qui sépare Tokyo de Paris c'est un rêve que de pouvoir faire aussi facilement et rapidement les allers-retours. Surtout quand on pense à la situation dans les années soixante où la plupart des gens faisaient le trajet en bateau ou en train car l'avion était trop cher.
Malgré tout j'ai le sentiment doux-amer que le temps glisse entre mes doigts…
Si je compte le trajet de mon domicile à l'aéroport, l'attente avant l'enregistrement puis l'embarquement, le vol lui-même, le temps de récupérer mes bagages, le passage à la douane et le trajet jusque chez moi à Paris, j'arrive à près de 24h par trajet! Multiplié par deux pour un aller retour et par douze mois, j'arrive à un total de près d'un mois de l'année passé à voyager entre Tokyo et Paris dont douze jours de vol pur.
Bien sûr je fais en sorte d'utiliser ces trajets au mieux. Je travaille sur mon ordinateur portable, je dors dans l'avion afin d'être "opérationnel" dès mon arrivée, etc… Et si on considère la distance qui sépare Tokyo de Paris c'est un rêve que de pouvoir faire aussi facilement et rapidement les allers-retours. Surtout quand on pense à la situation dans les années soixante où la plupart des gens faisaient le trajet en bateau ou en train car l'avion était trop cher.
Malgré tout j'ai le sentiment doux-amer que le temps glisse entre mes doigts…
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